Comme chaque année, l'Observatoire de la santé de la province du Hainaut dresse l'état de santé de la population hennuyère. Espérance de vie, mortalité, maladies chroniques, obésité ou encore situation des médecins généralistes, autant de choses qui y sont abordées. Notre province continue de présenter une situation socio-sanitaire moins favorable que les territoires voisins. Le lien entre les indicateurs socio-économiques et la santé est toujours d'actualité. 

Nous vous avons déjà parlé de la situation financière compliquée du CHU Ambroise Paré. Une situation qui est finalement commune à la quasi totalité des hopitaux. Si certains sortent de 2021 en positif, cette année risque d'être tout autre. C'est le cas notamment du centre hospitalier EpiCURA où on redoute les mois à venir. 

A Mons, le CHU Ambroise Paré connait d'importants problèmes financiers: 1,2 millions d'euros, c'est la hauteur du déficit pour l'année 2021. Pour y faire face, une politique de réduction des coûts est mise en place. De nombreux contrats à durée déterminée ne seront donc pas renouvelés. Une mesure qui fait déjà grincer des dents au sein du personnel, qui se dit déjà trop peu nombreux. Chantal Bouchez, la directrice générale, s'explique à notre micro.

Cet après-midi se tenait la traditionnelle conférence de presse qui annonce le programme des festivités du Doudou. Après deux ans d'absence dans sa forme habituelle, la Ducasse revient donc avec quelques nouveautés. Mais pour ces retrouvailles , c'est l'émotion et la grande foule qui primeront.  A J –12, toutes les autorités qui participent à l'organisation de la ducasse de Mons étaient réunies, une fois n'est pas coutume, à la collégiale Sainte-Waudru. 2022 rimera avec retour aux festivités habituelles avec un enthousiasme très palpable.

Ce mardi 1er mars marquera le début de la saison cycliste en Wallonie. Au programme, le GP Samyn 2022 qui reliera Quaregnon à Dour. Départ à midi de la Place de Quaregnon. Arrivée prévue vers 17h à Dour. Des perturbations sont donc à prévoir ce mardi si vous circulerez dans le Borinage. Et à quelques heures du départ, les organisateurs règlent les derniers détails. Et visiblement  ils doivent toujours bien tenir compte de la crise sanitaire

Alors que l'on aperçoit tout doucement la fin de la crise sanitaire, quelle-est aujourd'hui la situation dans l'horeca montois ? Tous ont évidemment souffert de la crise. Certains ne se sont pas relevés. Mais aujourd'hui, alors qu'une reprise se dessine tout doucement, la situation n'est pas forcément rose pour cafetiers et restaurateurs de la Grand-Place de Mons, généralement considérée comme le baromètre du secteur. 

  Depuis hier, les personnes immunodéprimées peuvent aller se faire injecter leur 4ème dose contre le covid. Pour le moment, pas vraiment de précipitation dans les centres de vaccination de la région puisque les personnes concernées ne recevront leur invitation officielle que la semaine prochaine. Pour ce qui est des 1éres, 2ème et 3ème doses, les centres fonctionnent un peu ralenti. La faute à Omicron....

Le chaos continue dans les écoles où Omicron reste omniprésent. Hier, de nouvelles mesures ont été prises par les différents ministres de la santé pour tenter d'endiguer la situation. Des mesures qui sont entrées en vigueur ce jeudi matin... mais sans circulaire. Certaines écoles ont donc décidé de ne pas attendre les infos officielles pour agir. C'est le cas de l'Institut Sainte Union à Dour qui est fermée depuis mercredi. 

Ce vendredi c'était l'heure pour les écoles de tirer le bilan de cette 1ère semaine de cours après 3 semaines de vacances. Absentéisme, nouvelles règles de quarantaine et appréhension autour du variant omicron: c'est certain, la rentrée a été particulière. Mais vous allez le voir, dans certains établissements, tout s'est déroulé sans accroc. C'est le cas à l'école communale des Calmettes.

Après le blocus, place aux examens pour les étudiants de Haute Ecole et d'universités. A l'UCLouvain FUCaM Mons, les examens battent leur plein depuis plus d'une semaine et tout se déroule pour le mieux. Les normes sanitaires sont en place et les étudiants sont revenus au présentiel pour leur plus grand plaisir.