Des algues bleues au Grand Large interdisent toute activité nautique sur le plan d'eau! Par ces températures estivales, vous avez peut-être envie de profiter d'activités nautiques au Grand Large... Hélas depuis hier (6/09/2023), c'est impossible. Le Service public de Wallonie a en effet averti la Ville de Mons de la présence de cyanobactéries, entendez des algues bleues, dans le canal Nimy-Blaton et au Grand Large également.

Dans Les Infos de ce jeudi 16 février, nous recevons Delphine Fontenoy ! Elle est chargée de mission pour l'asbl Espace Environnement. Une asbl qui participe activement au projet "SANISOL" lancé par la Région Walonne ! Ce projet, c'est une prime pour vous permettre d'analyse votre sol dans votre jardin, avant de vous lancer dans le jardinage ou la confection d'un potager ! Voici toutes les explications !  >>> Pour plus d'infos, rendez-vous sur le site internet dédié à Sanisol ! 

En décembre dernier, l'entreprise Envirolead, qui projette d'installer une usine de recyclage de batteries dans le zoning de Ghlin Baudour, a reçu son permis. Une installation qui inquiète les habitants autour de ce site classé Seveso. Ils se sont mobilisés et envisagent un recours au Conseil d'Etat, un recours qui devrait être déposé la semaine prochaine. 

Nicolas Brasero est responsable du contrat de rivière de la Haine. Il scrute d'un oeil averti le niveau des cours d'eau. Sans surprise, il diminue, pour plusieurs raisons. « Il y a des stations de mesure sur le sous-bassin sur les cours d'eau les plus importants. Sur la Grande Honnelle, le niveau est bas parce qu'il manque de précipitations mais il y aussi le pompage d'eau qui fait diminuer le niveau des nappes phréatiques et par conséquent le niveau des cours d'eau diminue aussi », explique Nicolas Brasero

Fabriquer des boudins de recyclage avec les cheveux coupés dans les salons de coiffure, cela existe depuis 30 ans. Pourtant, en Belgique, cette collecte n'existe que depuis l'année dernière. Le salon "Au fil du cheveu" à Mons est un des premiers de la région à avoir passé le cap. Non, le cheveu n’est pas un déchet. Et au salon Au Fil du Cheveu à Mons, on l’a bien compris. Depuis début novembre, Gwendoline et son équipe récupèrent tous les cheveux coupés. Faire un geste pour la planète, voilà leur principale motivation !

A l’école communale du Grand Hornu, les élèves de 5e et 6e vivent ce matin la 2e étape de leur défi zéro watt. Après une mise en place de mesures en fin novembre, c’est maintenant l’heure du bilan sur les actions entreprises.

La pénurie de l’eau est devenue l’une des principales menaces pour la vie sur terre. C’est pourquoi, le centre d’innovation et de design du Grand-Hornu, propose un stage pour les 5-10 ans sur le thème de la sécheresse. Une semaine d’activités qui, à la fois, amuse et sensibilise les enfants sur cette problématique. 

Ce vendredi 25 septembre, la Ville de Mons organise une séance publique d'information et présente les résultats du bilan environnemental à Obourg concernant la pollution aux PCB. Pour rappel, ce bilan avait été demandé par la Ministre wallonne de l'environnement Céline Tellier en juin dernier après que l'AFSCA a trouvé des PCB dans deux exploitations agricoles situées à proximité des entreprises Holcim et Cometsambre.

En mai dernier, l'AFSCA avait retrouvé des traces de PCB, substances nocives et potentiellement cancérigènes, dans les cultures de deux exploitations agricoles d'Obourg. La Ministre Wallonne de l'Environnement, Céline Tellier, a rencontré les autorités communales de Mons ainsi que des représentants des riverains et de l'entreprise Cometsambre. Un bilan environnemental complet va être lancé à proximité du broyeur à métaux de l'entreprise.

Installée depuis 1928 à Tertre, l'entreprise chimique Yara a ces derniers jours suscité bien des émois parmi les riverains, qui se sont interrogés sur les nuisances sonores et le nuage orangé au-dessus du site. Nous avons visité l'entreprise ce matin, une usine grand Seveso où les règles de sécurité sont strictement respectées. Le groupe norvégien a d'ailleurs investi près de 80 millions d'euros pour moderniser ses installations.