Report de l'audience qui devait examiner ce matin les préventions qui pèsent sur Jean Hubert Nicolay, le chef de corps de la police de Mons Quévy, ainsi que celles sur 2 policiers de la zone Boraine. Les 3 prévenus doivent se justifier de plusieurs chefs d’inculpation. En mars 2022, Jean-Hubert Nicolay est victime d'un accident de roulage. Son éthylotest, réalisé à priori par la Police Boraine pour éviter tout conflit d’intérêt, est négatif comme indiqué dans son PV.

Ouverture du procès aux assises du Hainaut de Madissone Massy. La Douroise est suspectée d'avoir assassiné son petit garçon de 9 mois, le 18 juillet 2019. Un drame qui pourrait être la conséquence d'un trouble psychologique de la mère de famille. 

Frédéric Lepoint a été écroué hier.  Son pourvoi en cassation a été rejeté par la haute cour de justice en l'absence de vice de procédure. Plus aucun recours n'est possible. Le quévysien va donc devoir purger 22 ans de réclusion.  Une peine dont il a écopé devant la cour d'assises pour l'assassinat de son épouse en décembre dernier.  Pour rappel, le corps d'Aline Thirion avait été retrouvé ligoté dans le lit familial en décembre 2014. La quinquagénaire est décédée des suites d'une asphyxie.

Coupable ! C 'est le verdict rendu en début d'après midi par le jury de la cour d'assises. Frédéric Lepoint a donc bien assassiné son épouse Aline Thirion le 14 décembre 2014 dans le domicile familial à Quévy. Selon, le jury l'ensemble des témoignages et l'enquête accablent l'accusé. La préméditation est établie notamment par plusieurs propos tenus par Frédéric Lepoint avec sa maitresse. Le Quévysien vient d'être fixé sur sa peine. 22 ans de prison.

8 ans après les faits, Frédéric Lepoint sera jugé le 12 décembre devant la cour d'assises. Il est suspecté de l'assassinat de son épouse Aline Thirion. Le 4 décembre 2014, à Quévy, la quinquagénaire est retrouvée morte dans son lit, ligotée, un sac sur la tête. Son époux, Frédéric Thirion, lui était bailloné et attaché en bas sur une chaise. Selon lui, ce drame est l'oeuvre de 3 cambrioleurs qui se sont introduits cette nuit là dans le domicile familial Frédéric Thirion, libre depuis juillet 2015 continue de clamer son innocence

Le 22 mars 1997, il y a 25 ans jour pour jour  des sacs poubelles renfermant des restes humains étaient retrouvés à Cuesmes, en contrebas de la rue Emile Vandervelde. Pendant plusieurs semaines d'autres sacs au contenu macabre vont continués d’être découverts dans la région montoise.

Une fois de plus, la prison de Mons est sous les feux de l'actualité. La surpopulation carcérale et la vétusté des bâtiments sont des problèmes récurrents qui n'ont toujours pas trouvé de solution. Agents pénitentiaires, via les délégations syndicales, et direction se serrent les coudes pour lancer un appel à l'aide aux différents pouvoirs publics d('autant qu'un changement législatif devrait encore accroître le nombre de détenus. Explications.  

35 ans de réclusion pour Adrien Curon. C'est la peine qui a été infligée hier soir par la cour d'assises au montois reconnu coupable du meurtre de Céline Doignon. Les faits se déroulaient dans un appartement du boulevard Sainctelette à Mons.  Adrien Curon a agressé sa voisine de 25 coups de couteau en avril 2019, et ce devant la petite fille de la victime, agée de 4 ans. L'absence de remord, de circonstance atténuante et l’extrême gravité des faits justifient cette lourde peine.

C’est ce mercredi qu’a débuté, devant le Tribunal civil de Mons, le procès qui oppose Emmanuel Desquesnes, un agriculteur d’Obourg, à l’entreprise de broyage de métaux, Cometsambre. En cause, la contamination du bétail de l’exploitation agricole par des PCB, des substances toxiques issues de l’activité industrielle. L’agriculteur se voit donc contraint aujourd’hui d’euthanasier ses bêtes chez lui et à ses propres frais…          

C’est ce matin qu’a débuté le procès en appel du policier qui a tiré sur la petite Mawda le 17 mai 2018. L’homme qui a été reconnu coupable d’homicide involontaire par défaut de prévoyance avait été condamné à un an de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Mons. Il conteste aujourd’hui la décision et demande son acquittement.