Marjorie Leclercq a t'elle mis le feu chez sa voisine Patricia Allemeersch le 12 novembre 2017 à Jemappes? Ce sera tout l'enjeu des assises qui ont débuté ce matin à Mons. En cas de culpabilité,  la quadragénaire risque la perpétuité.  12 novembre 2017,  20h49, les pompiers sont appelés pour un incendie au n)26 de la rue Pont Beumier à Jemappes, quand ils arrivent sur place, il est trop tard pour Patricia Allemeersch...

Constitution du jury d'assises ce jeudi après midi, un jury qui se penchera dès lundi sur la culpabilité de Marjorie Leclercq, une quadragénaire, suspectée d'avoir mis le feu chez sa voisine, Patricia Allemmersch, 56 ans au moment de son décès. Les faits se déroulaient le 12 novembre 2017, dans une habitation située rue du Pont Beumier à Jemappes. Patricia Allemeersch, qui avait vidé les comptes de la victime, est poursuivie notamment pour incendie volontaire avec la circonstance aggravante qu'il a entraîné la mort.

Ce jeudi, c'était aussi la suite de procès de l'affaire Mawda. Une partie de la matinée était consacrée aux répliques des parties civiles, de l'avocate générale et de la défense du policier. L'audience s'est poursuivie par les plaidoiries des défenses du chauffeur et du prétendu passeur. Avant cela, le policier a également souhaité dire quelques mots.  

Deuxième jour de procès dans l'affaire Mawda. Après les plaidoiries des parties civiles et l'audition des 3 prévenus, les débats se sont poursuivis aujourd'hui par les réquisitoires du Ministère public et les plaidoiries de la défense. Avant cela, les parents de Mawda ont souhaité s'exprimer et revenir sur le déroulement du drame.   

Le procès de l'affaire Mawda s'est ouvert ce lundi matin au Palais de justice de Mons. Il devrait durer deux jours. Très attendu et fort médiatisé, ce procès en correctionnel est celui de trois hommes impliqués dans la mort de la fillette kurde âgée de 2 ans qui a été tuée d'une balle policière en mai 2018 lors d'une course poursuite.  

Le procès de l'affaire Mawda a attiré beaucoup de monde ce lundi matin devant le palais de justice de Mons qui a aussi du s'organiser pour maintenir les mesures de sécurité en période de COVID. De nombreux militants étaient présents tôt ce lundi pour demander que justice soit faite. Pour eux, ce procès est surtout celui de la politique menée en matière d'immigration.  

Aux Assises du Hainaut, le verdict est tombé hier. Ahmed Smaili a été reconnu coupable par le jury populaire de meurtre sur la personne de Jean-François Willems. Il écope d'une peine de 15 ans de réclusion. Le faits se déroulaient en 2018 sur la place de la gare de Mons.

Pour entourer la famille Willems ce matin et pendant toute la durée du procès, le "collectif des familles d'enfants assassinés" est présent.  Ce collectif a été créer en 2005 et il regroupe à l'heure actuelle une vingtaine de familles qui ont en commun, le fait d'avoir perdu un enfant à la suite d'un meurtre.  

Début du procès ce matin aux assises du Hainaut de Ahmed Smaili.  L'étudiant de 34 ans est accusé du meurtre de Jean-François Willems, un jeune montois de 19 ans.  Les faits se déroulaient le 25 juin 2018 sur la Place Léopold à Mons.  

Aux Assises du Hainaut, le jury  a rendu son verdict : Brenda Estievenart a été reconnue coupable du meurtre de Sabrina Blairon le 16 octobre 2016 à Colfontaine.  L'avocat de la défense avait plaidé l'acquittement de sa cliente estimant qu'il n y avait rien qui prouvait que l'accusée avait porté le coup de couteau mortel à la victime.  Le jury lui a estimé que divers éléments de preuve contredisent cette théorie.  Le jury va se positionner maintenant sur la peine dont va écoper Brenda Estievenart.