Écrit par:
Quentin Houdart
La nouvelle est tombée ce samedi soir : l'UMons aura bien son master en médecine. Il débutera en 2024 et s'organisera sous différentes conditions. L'université montoise ne recevra pas de financement pour le mettre en place. Après des semaines de discussions et de blocage politique, c'est le soulagement pour les étudiants.
Cours d'histologie au programme ce lundi matin pour les BAC 1 en médecine. Ces étudiants seront parmi les premiers à profiter de ce nouveau master et se réjouissent de la nouvelle.
Écrit par:
Jérémie Ulens
Un peu plus de 200 étudiants de l'UMONS ont manifesté ce midi à Mons. Ils étaient accompagnés de médecins et de professeurs. Tous protestent contre la décision de la Ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Glatigny de refuser l'organisation d'un master en médecine au sein de l'université montoise. Le cortège est parti vers 13 heures de la plaine de Nimy, direction la Grand-Place de Mons avec un objectif : que la Ministre puisse revoir sa copie.
Écrit par:
Quentin Houdart
La mauvaise nouvelle est tombée hier pour l'UMons : le master de médecine a été refusé. La Ministre wallonne de l'Enseignement supérieur Valérie Glatigny a rendu un avis défavorable à un cursus complet sur le campus montois. Une décision qui surprend alors que l'ARES, l'Académie pour la Recherche et l'Enseignement Supérieur, avait rendu un avis favorable. Pourquoi cette décision et quelle sera la suite du dossier ? Explications ci-dessous
Écrit par:
Laura Gilboux
Dans une semaine tout juste, l'UMons entamera sa 13ème rentrée. Avec, cette année encore, des chiffres d'inscriptions qui explosent. L'université est en bonne voie pour battre son record de l'an passé : soit 2000 nouveaux inscrits en premier bachelier. L'UMons continue donc de grandir avec pas mal de défis et de projets pour cette année.
Écrit par:
France Alfano
Le recteur de l'UMons, Philippe Dubois, revendique un master en médecine pour son université. Jusqu'ici, seules les trois premières années étaient organisées à Mons. Les étudiants devaient terminer leurs études ailleurs... avec le risque de ne pas revenir exercer dans le Hainaut.