Dans les prochaines années le TEC envisage plusieurs projets pour augmenter le nombre d'usagers des transports en commun. Un des plus importants est le futur aménagement de l'entrée de Mons par la Nationale 90, la la Chaussée de Binche et l'Avenue Reine Astrid. Les bus devraient y circuler en site propre,  être plus rapides et donc plus attractifs. Les automobilistes qui auront, sur certains tronçons, une voie en moins  craignent d'avantage de bouchons. 

Vous en avez peut-être fait les frais ce matin, les TEC sont à nouveau en grève, du moins pour les bus qui sortent du dépôt de Mons. Ce mouvement spontané porte toujours les mêmes revendications depuis un an : un taux d'absentéisme élevé, la difficulté de recruter des chauffeurs et un mauvais état du parc des véhicules. Les discussions entre direction et syndicat sont en cours.

La semaine dernière à Lens, majorité et opposition se sont mises d'accord sur une motion pour favoriser la création de nouvelles voies TEC dans la commune. En effet, depuis plusieurs années, maintenant, les riverains se plaignent du manque de bus et des horaires des lignes actuelles. Des bus qui ne sont parfois disponibles que 2 fois par jour à des heures où il est presque impossible pour les navetteurs de prendre les transports en commun. Par cette motion, ce calvaire devrait donc prendre fin d'ici 2027.

Un nouveau projet de mobilité est en train de voir le jour dans Mons-Borinage. Le TEC, en collaboration avec le SPW, est en pleine analyse de son projet Busway. Un bus qui circulera de Mons aux gares de Boussu et Saint-Ghislain, soit un tronçon de plus de 7 kilomètres. Le but : décongestionner la N51.  Charleroi, Liège et donc Mons seront les trois premières villes à connaitre le Busway. Un tout nouveau type de bus, presque un tram.

Retrouvez Laura Gilboux pour les Infos de ce lundi 5 septembre Les titres du jour: > Ils ont repris le travail ce matin mais ils sont toujours en colère. Eux ce sont les chauffeurs de la TEC. En cause: un absentéisme record qui les empêche notamment de poser leurs jours de congé. > Des repas chauds gratuits à disposition des 1ère et 2ème primaire, c'est la nouveauté de cette rentrée scolaire dans 20 écoles de la région. Une solution de plus pour que les plus petits mangent équilibrés et de saison.

4 jours de grève pour la rentrée des classes, les chauffeurs des bus TEC ont repris le travail ce matin. La cause de leur mécontentement, l'impossibilité de se voir octroyer des jours de congé, faute de chauffeurs présents. L'absentéisme avoisine les 20 % à Mons-Bassins et rend compliquée l'organisation des services. Nous avons rencontré la direction ce matin, des pistes de solutions sont sur la table, et pourraient aboutir d'ici peu. 

Mauvaise nouvelle aujourd'hui pour les usagers du TEC qui ont attendu en vain le passage de leur bus ce matin. Les agents sont spontanément partis en grève, un mouvement soutenu par les organisations syndicales et qui risque de durer jusqu'à dimanche. A l'origine de ce ras-le-bol, un taux d'absentéisme élevé qui empêche les chauffeurs de se voir octroyer les jours de repos qu'ils demandent.  

Suite à l'agression d'un conducteur montois ce mercredi soir, un mouvement de grève spontané est en cours au dépôt de Mons ce jeudi 19 mai. Selon la communication du TEC sur sa page Facebook "Le réseau montois est fortement perturbé et peu de lignes circulent." Prenez donc vos précautions si vous devez utiliser le bus ce jeudi dans la région montoise.   

Dès ce 1er septembre, il sera beaucoup plus simple de se rendre à Binche depuis Mons en bus. Le TEC va en effet tester 9 lignes "express" dont l'une reliant Mons et Binche et l'autre Beaumont et Mons. Une nouvelle offre qui viendra compléter celle déjà existante pour faciliter les trajets.

Jeudi soir, un chauffeur âgé d'une soixantaine d'année a été agressé par 5 jeunes d'une vingtaine d'année. Alors que le chauffeur leur demandait de remettre leur masque, les adolescents ont refusé d'obtempérer. Le chauffeur leur a donc demandé de descendre du véhicule. Les jeunes ont alors fait le tour du bus pour frapper le chauffeur.  Cette agression est la deuxième dans le Hainaut cette semaine. La première a eu lieu mercredi à la Louvière. Ces deux agressions ont mené à "une grève émotionnelle" de la part du front commun syndical en soutien à leurs collègues.