Les rencontres entre les châsses de Mons et de Soignies sont plutôt rares depuis la fin du Moyen-Age. Celle qui est prévue en ce 22 septembre 2019 est donc exceptionnelle.

Scout un jour, scout toujours. L'expression colle comme un gant à l'unité Saint-Charles à Mons.

Savez-vous qu'il y a un musée de la libération à Obourg, dans l'entité montoise? Créé par un couple de passionnés, le musée se focalise sur la deuxième guerre mondiale mais il présente aussi des objets liés au premier conflit. On y trouve aussi d'émouvants souvenirs de la libération! Des objets qui ont tous une histoire à nous raconter...

Bien avant Tanks in Town, revenons à l'année 2000, lorsqu'une véritable expédition est menée aux Etats-Unis par l'Asbl Overlord Return pour retrouver le Major Tucker qui fut l'un des premiers à entrer dans Mons avec son détachement de chars à la libération. Un moment immortalisé par Virginie Peeters et Alain Bardez. Voici un condensé des reportages tournés en juin 2000.   

Le Doudou... il y a 25 ans

Le mardi de Pentecôte sur le coup de midi, c'est tout le Borinage qui vient saluer cette petite enfant...

Les rencontres entre les châsses de Mons et de Soignies sont plutôt rares depuis la fin du Moyen-Age. Celle qui est prévue en ce 22 septembre 2019 est donc exceptionnelle. L'occasion est belle d'accompagner les reliques de Sainte Waudru et Saint Vincent dans les bois de Maisières - Casteau

L'existence d'une petite communauté juive à Mons dans l'histoire peut paraître anecdotique. Et pourtant les premiers juifs qui s'installent dans la ville au début du 14ème siècle ne sont pas passés inaperçus. L'un d'entre eux devient même le héros d'un véritable thriller médiéval. Retour sur une présence et une époque marquée par la grande peste de 1348. 

L'ancien couvent des filles de la Visitation est un ensemble de bâtiments des 17 et 18è siècles à la Place du Parc à Mons. Il a été fondé en 1650 par des religieuses, les Visitandines. Une chapelle construite au 18è siècle vient compléter l'ensemble qui a connu bien des fonctions et voit aujourd'hui son futur se dessiner. Regardez plutôt ! Reportage Sabine Dupont – Sandro Di Pietro

On l'appelait le camp numéro 26. Il faisait une centaine d'hectares dans la forêt d'Erbisoeul  et il a servi de lieu d'internement pour 30.000 prisonniers de guerre allemands ou assimilés en avril 1945. Aujourd'hui, la nature à repris ses droits mais l'histoire et la moire ne sont pas tombés dans l'oubli.