Joseph Ghin c'est un artiste borain d'une longévité exceptionnelle et qui offre un regard engagé sur notre passé. Il est à l'honneur à la salle St. Georges sur la Grand-Place à Mons. L'occasion de découvrir un peintre et sculpteur original à plus d'un titre.

Depuis quatre siècles, de nombreux pèlerins de Mons, du Borinage et ailleurs sont venus se recueillir en l’église de Saint Nicolas- en- Bertaimont (anciennement) devant le tableau miraculeux de Notre-Dame de Messine(s). Pendant longtemps, on a cru que ce culte provenait de la ville portuaire sicilienne: Messina. Mais, selon toute vraisemblance, cette dévotion mariale proviendrait d’un petit village situé près d’Ypres et nommé également Messines (Mesen en flamand). Intrigué par les origines de cette dévotion, j’ai entrepris une recherche et, à ma grande surprise, 

Grâce à l'Asbl Mémoire inédites, Quartiers d'Histoires part à la découverte du village de Baudour au début des années 1950 au travers d'un film  tourné à l'époque par une compagnie d'assurance. Un village entre château et industrie dont les anciens se souviennent non sans émotion

L'histoire du Carmel de Mons commence au 17è siècle. Il a voyagé à travers la ville avant de s'excentrer à la Rue du Pourcelet, vers Nimy. Régi par des règles strictes, le carmel a fermé définitivement ses portes en 2015.  Depuis, des habitants se sont rassemblés pour faire revivre les lieux et les transformer en habitation.

Les formations musicales et les chorales sont indissociables de l'histoire du Borinage. Un patrimoine culturel toujours vivant mais qui a connu des mutations profondes comme à Frameries. Les Framerisous ont bien d'autres souvenirs à partager grâce à leur folklore et leur culture si particulière. Encore faut-il la préserver et la faire connaître comme l'ont bien compris des passionnés.

C'est le genre d'évènement qui marque l'imaginaire collectif pour longtemps. En 1893, la garde civique montoise tire sur des mineurs borains venus manifester en faveur du suffrage universel. Une émeute qui commence par un coup de feu inattendu et devient un chapitre majeur dans l'histoire de notre région.  

Chaque premier week-end de septembre, le village de Quévy-le-Petit fait la fête à Béria Béria un bandit à qui on attribue tous les maux du village. Il n'est pas sans rappeler  un certain Joseph-Antoine Moneuse.

Ne croyez pas les cartes postales !!!! Il n'a a jamais eu un kiosque à demeure sur la Grand-Place de Mons. Cette attraction de la ville a en fait la bougeotte et aussi une longue histoire derrière elle.

A plein verre mes bons amis... Quartiers d'Histoires ressort des archives exceptionnelles qui évoquent quelques acteurs importants ayant marqué le secteur brassicole dans notre région pendant la deuxième partie du vingtième siècle. Quelques nom célèbres comme Emile Cavenaile, Charles Tondreau ou encore Michel Potvin. Nous sommes en 1991.

Aujourd'hui occupé par une école ou encore par l'administration communale, l'ancien Pensionnat des Frères des Ecoles Chrétiennes a accueilli à Givry pendant près d'un demi-siècle de nombreux enfants. Avec son projet éducatif basé sur la participation de l'élève, cette institution ne laissait pas indifférents les habitants de cette commune.