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Sandro Di Pietro
Arthur, Yves et Bruno, 3 prénoms et 3 générations d'artistes, qui ont fait de l'art un métier autant qu'une passion.
Si Yves Robbe a choisi la musique, son père Arthur savait faire parler la pierre, on appelle cela la lithographie.
Ce grand imprimeur d'art reconnu internationalement a connu une filiation puisque Bruno son petit-fils a repris le flambeau en 1995.
Voilà une famille qui a de la suite dans les idées.
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Sandro Di Pietro
Mons prend une place toute particulière dans l'histoire de la grande guerre. The First and the Last, le premier (John Parr) et le dernier (Georges Edwin Ellison) soldats britanniques tués, l'ont été ici à Mons. Il en est de même pour le dernier soldat canadien du Commonwealth. Ce 11 novembre, ce sont d'ailleurs les troupes canadiennes qui libèrent la ville de Mons et sa région de 4 années d'occupation allemandes.
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Sandro Di Pietro
Thierry Luthers, journaliste sportif à la RTBF est aussi taphophile.
A ses heures perdues, avec un photographe, il parcourt les allées des cimetières,
à la recherche des tombes de personnalités, une véritable passion.
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Sandro Di Pietro
C'est en 1836 que la famille de Nédonchel, originaire de Tournai, arrive à Boussu.
Eugène-Joseph achète le château, le parc et les bords de la Haine à la famille de Maurice-Gabriel de Riquet de Caraman dernier Comte de Boussu.
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Sandro Di Pietro
Un musée plutôt modeste par la taille mais certainement pas par son sujet,
le petit monde magique de la musique mécanique invite à un voyage dans le temps bercé par les boîtes à musique, les automates et les poupées.
C'est à Masnuy-Saint-Jean que Albert Jacquet a pu transformer son rêve en réalité et offrir aux petits et et aux grands
un parcours initiatique au royaume de la musique.
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Sandro Di Pietro
La rue des Montrys à Asquillies est aujourd'hui plutôt calme. Mais cela n'a pas toujours été le cas, certainement pas dans les années 50 et 60 le dimanche.
La raison? une rivière, le By, et un lieu de détente fort prisé à l'époque Asquillies Plage.
Un espace de loisir à la portée de toutes les bourses.
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Sandro Di Pietro
Le développement du tourisme dans les Honnelles, et particulièrement au Caillou-qui-Bique ne date pas d'aujourd'hui.
Au XIXe siècle déjà, la région attire le public. Un public qui débarque grâce à une ligne de train, construite pour des besoins économiques
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Sandro Di Pietro
Pour la seconde partie consacrée à "la vallée de la Haine" Michel Hallez et Georges Moucheron reviennent aujourd’hui encore sur les chemins de Thulin.
Jusqu’au XVIIIe siècle, Thulin restera une bourgade agricole, vivant en quasi-
autarcie des produits de la terre. Mais tout allait changer avec l’apparition de
l’industrie du charbon. Il fallait absolument créer une route moderne pour
relier les charbonnages de Dour et Elouges à la rivière , la Haine, et cette
route passera par Thulin.
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Sandro Di Pietro
Georges Moucheron vous parle d’une rivière, d’un village et d’un homme .
La rivière, c’est la Haine, notre rivière, qui n’a pas toujours été ce petit cours
d’eau bucolique qui coule à travers les champs et les prés.
Le village, c’est Thulin, aujourd’hui dans l’entité d’Hensies. Un petit village
d’apparence paisible, mais qui recèle, vous allez le voir, des richesses
insoupçonnées.
L’homme, c’est Michel Hallez, qui revient aujourd’hui sur les chemins de son
enfance.
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Sandro Di Pietro
Depuis son arrière arrière grand-père, premier pharmacien du Grand-Hornu, jusqu'à ses descendants ayant vécu de près les deux guerres mondiales, Jean-Christophe Dubuisson nous raconte l'histoire de sa famille grâce à de nombreux objets et documents d'époque.