C'est l'un des juristes et artistes montois les plus éminent du 19ème siècle.rnLéon Dolez nous a légué un patrimoine inestimable grâce à ses talents de dessinateur et de peintre.rnDes coins pittoresques ou des bâtiments de Mons, aujourd'hui disparus, sont passé ainsi à la postérité.

 Tokyo et Lens, à priori un énorme monde de différence. Mais l'histoire est passée par là. Lors de la seconde guerre mondiale, un quartier fut construit par les allemands et le hameau de Tokyo à Lens est entré dans la mémoire collective.    

Nous avons quitté le Chanoine Puissant à Sars et sa Poterie dans une première émission qui lui était consacrée. C'est un nouveau chapitre désormais qui s'ouvre dans une vie déjà bien remplie. Les châteaux d'Havré et d'Ecaussinnes-Lalaing mobilisent son énergie avant qu'il n'investisse ses dernières forces au bénéfice de sa chère Ville de Mons. Mais commençons par Havré où des traces de son passage existent aujourd'hui encore.

Edmond Félix Puissant (1860-1934) fut une personnalité hors du commun à bien des égards, une personnalité dont le rayonnement dépasse les frontières du Hainaut. Prêtre, professeur, collectionneur, archéologue, restaurateur, il a sauvé des oeuvres majeures du patrimoine hennuyer. Herchies, Sars-la-Bruyère et Mons bien sûr lui doivent une fière chandelle.

Si le pays de Charleroi est célèbre pour ses verreries, cette activité a connu  également ses heures de gloire dans la région de Mons Borinage. On pense à havré mais aussi à boussu où cette industrie, qui a aussi un coté artistique, était autrefois prospère.

Cécile Douard, une grande artiste et une féministe, a vécu à une époque où les femmes n'avaient pas le droit au chapitre. Cette fille d'exilé français née en 1866 choisit de faire de la peinture son métier alors que les portes des académies sont inaccessibles aux filles. Mais elle n'en avait cure. Son oeuvre où le Borinage ouvrier occupe une place de choix n'en sera que plus belle.

Quarante ans après leur début, les papys du rock régionaux se portent plutôt bien.Le look n'a pas changé et la passion de la musique les habite toujours autant. Certains remontent régulièrement sur scène. D'autres sont toujours actifs dans le monde musical.

Bien avant le Festival de Dour qui commence en 1989, la musique enflamme la jeunesse de Mons-Borinage. Des groupes locaux se forment un peu partout dans les communes boraines en ce début des années 80. Le métal, le disco, le punk, la new wave font vibrer les teenagers. Retour sur une époque dorée au plan musical pour celles et ceux qui l'ont vécue.

Quarante ans de cellules de reconversion, un défi collectif, c'est le thème d'une exposition qui s'est tenue à Charleroi fin novembre 2017. En quatre décennies, 449 cellules de reconversion ont vu le jour un peu partout en Wallonie pour aider 45.000 personnes à retrouver un emploi. Dans cette longue histoire la région de Mons-Borinage a joué un rôle important.

Manceaux et Preaux, deux familles d'imprimeurs montois et ghlinois qui ont fait les beaux jours de cette profession dès la fin du XIXème siècle. Une période marquée par l'essor de cette activité économique. Mons et le Hainaut en général jouent un rôle non négligeable dans ce développement important. A Ghlin, Preaux avec la Carte Postale Illustrée devient un acteur incontournable de la vie locale à la Belle Epoque.