Dans ce journal du Festival au Carré, arrêt à Guantanamouk, texte de Nabil Ben Yadir, le réalisateur des Barons. Retour aux sources pour l'auteur de Hêtre, Céline Delbecq et la comédienne Charlotte Villalonga ;les deux jeunes femmes ont étudié au Carré des Arts, elles y reviennent sur scène. Côté coulisses, comment se déroule la journée d'un groupe au festival avant son passage sur scène.

Jeudi soir, soirée d'ouverture pour le Festival au Carré... Pour cette première, c'est l'occasion de découvrir deux créations. L'une est théâtrale: Oncle Gourdin de Sophie Perez et Xavier Boussiron. Rencontre avec ce duo d'auteurs déjantés qui bousculent les codes théâtraux. L'autre est musicale, autour de la chanteuse Barbara Wiernik, quatre projets musicaux s'articulent pour ne faire plus qu'un: Les 100 ciels de Barbara Wiernik. Et enfin, le journal du festival vous emmène dans les coulisses, aujourd'hui le montage des chapiteaux.

Pour cette dernière, on vous emmène à la découverte de la culture haïtienne avec des lectures mais aussi de la musique. Des chants traditionnels au boléro en passant par les rythmes vaudous, le répertoire de Ti Coca et Wanga Nègès est coloré et métissé. Et puis vous l’avez vu,  la programmation a surtout mis l’accent sur les créations qui étaient nombreuses cette année. On termine donc en beauté avec l’une d’entre elles, « L’Orchestre perdu » de Christophe Huysmans.

 « La Prose du transsibérien et de la petite Jeanne de France », c’est une rencontre entre la poésie et la musique, entre le comédien Paul Van Mulder et le percussionniste Pierre Quiriny… Portraits croisés…  Et puis, le Festival au Carré propose également un focus montois avec notamment « Babel ou le ballet des incompatibles », le spectacle des anciens étudiants du Conservatoire Royal de Mons.

Nous vous proposons une rencontre inédite avec Anne-Laure Liégeois, metteur en scène de  « La (toute) petite tétralogie », un opéra comique inspiré des textes de l’auteur montois Michel Jamsin. Le Festival au Carré propose du théâtre, de la musique mais aussi de la danse. Voici les meilleurs moments de « This door is too small (for a bear) », le spectacle de la Needcompany.

Pour cette 3ème émission, cap sur l’Antarctique avec le « Testament des Glaces ». L’Ensemble Musiques Nouvelles s’est laissé inspirer par les images d’Alain Hubert qui était à Mons pour le spectacle. Puis un petit détour par le terril de Cuesmes. Jamila Drissi nous présente son quartier d’enfance qui a inspiré « L’Insoumise ou Scarlet O’Hara au pied du terril ». 

Le Festival au Carré, c’est aussi l’occasion pour certains artistes de revenir dans leur ville d’enfance. Séquence souvenir avec la conteuse Michèle NGuyen qui nous entraîne dans ses quartiers préférés avant son spectacle « Vy ». Et puis, une avant-première à ne pas manquer : « Couturière » qui mêle l’accordéon de Didier Laloy aux textes de Kafka et Shakespeare.

Pour sa 11ème édition, le Festival au Carré revient avec encore plus de soleil et surtout plus de créations ! La preuve avec « Bas les masques », premier spectacle de Lorent Wanson et Dieudonné Kabongo. Rencontre entre le metteur en scène montois et le comédien congolais juste avant une répétition de « My Little Cheap Dictaphone », en prélude à son prochain opéra pop rock.

Pour ce dernier journal du festival, nous vous proposons une rencontre avec le musicien cubain Roberto Fonseca. Pianiste hors pair qui a notamment accompagné Buena Vista Social Club, Roberto Fonseca était accompagné de ses musiciens sur la scène du Carré des Arts pour un concert en toute intimité. Pas question de clôturer cette émission sans une rétrospective. Voici les meilleurs moments de ce 10ème Festival au Carré.

Evénement à ne pas manquer lors du Festival, la création du Manège. « Terril Apache » est une histoire du borinage. Avec des terrils, des mineurs, leurs espoirs déçus et le choc des générations. Dans le rôle du grand-père, un comédien bien de chez nous, Jean-Claude Derudder. Il nous fait découvrir le borinage qu’il aime.